Sortie du Jeudi 16 Janvier

Enfin, un après-midi sans pluie. On désespérait ; tout le monde a les jambes engourdies, enfin, la plupart d’entre nous. Nous partons pour Damgan à seize. Là, difficile de sortir de la voiture, un vent épouvantable nous surprend. Nous faisons deux groupes : sept partent pour faire 8 km et neuf pour 11 km.

Serge accompagne le 11 et Évelyne le 8.

Après avoir suivi un moment ceux qui font le 11, nous les laissons filer et nous marchons à notre rythme, comme le mardi, soit environ 4 à l’heure. Dany, Bernadette L, Bernadette G, Annick, Jean-Michel, Annette et moi avançons bien péniblement dans les chemins boueux. Nous revenons bien crottés à la voiture. Heureusement, le dernier kilomètre, sableux, permet de nettoyer les chaussures. Nous arrivons quelques minutes avant ceux qui font le 11, malgré tout, heureux de cette sortie.

En ce qui concerne le circuit de 11 km, Marie-Annette, Antoine, Christiane, Guy, Monique M., René, Liliane, Christian m'accompagne. Comme pour le parcours de 8 km beaucoup de chemins boueux, (surtout un endroit où nous nous enfoncions dans la boue jusqu'aux chevilles, heureusement nous avons trouvé quelques flaques d'eau, ce qui nous a permis de nettoyer un peu nos chaussures) ou il faut être très attentif, afin d'éviter les chutes ! nous aussi, nous revenons bien crottés aux voitures, nous terminons ce circuit, le long de la côte, où le vent soufflait fort, ce qui nous a permis de prendre un bon bol d'air frais
Seul petit bémol sur ce circuit, le fléchage, à certains endroits est difficile à trouver ou voire inexistant ! 

Evelyne et Serge

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Sortie du Dimanche 19 Janvier

Beau soleil et petite gelée au lever. Nous sommes huit, prêts pour faire le circuit St Dys à Férel : Serge, Guy, Henri L, Nicole Bo, Marie-Rose, Annette, Yvonne et Evelyne. Personne ne veut faire le 8 donc départ pour le 12km.

Les chemins sont un peu boueux mais moins qu’à Damgan jeudi. Nous sommes donc moins crottés ! Près d’une forêt, des chasseurs étaient postés, un sanglier a traversé le chemin devant nous, poursuivi par une meute de chiens, mais ceux-ci n’ont pas retrouvé sa trace de l’autre côté du chemin, je pense qu’ils ont fait demi-tour. Un peu plus loin, nous avons eu le plaisir de sauver la vie à un autre sanglier, celui-ci est passé entre deux chasseurs mais nous étions aussi dans la ligne de mire du chasseur qui a épaulé, mais, en nous voyant, il a vite abaissé son fusil. Ouf ! On a eu peur à nos oreilles dans le petit sentier bordé de chasseurs. Il n’était pas long (100 à 200 m) ; mais on était contents de s’éloigner.

Evelyne

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